ANAÏS
Barbeau-Lavalette
Photographies par Éva-Maude TC
A naïs Barbeau-Lavalette est née d’une lignée d’artistes engagés. Son art, qui emprunte plusieurs supports créatifs, représente les luttes et conflits du monde d’un regard toujours tourné vers l’individu et la quête de beauté. Outre quatre longs-métrages de fiction elle a aussi réalisé de nombreux films documentaires. Son roman La femme qui fuit, énorme succès populaire vendu à plus de 100 000 exemplaires au Québec s'est retrouvé dans la liste des meilleurs romans canadiens de la décennie selon Radio-Canada, la liste des dix meilleurs romans québécois de tous les temps selon Esprit critique/Artv, a remporté le Prix des libraires du Québec, le grand prix de la ville de Montréal ainsi que le Prix littéraire France-Québec.
« LA FEMME QUI FUIT, c’est un récit qui m’habite encore, une semaine après l’avoir terminé. »Patrick Lagacé, La Presse
« J’ai beau chercher, ça fait longtemps que je n’ai pas lu quelque chose d’aussi violent. (…) J’ai beau chercher, ça fait longtemps que je n’ai pas lu quelque chose d’aussi joli. » Anne-Marie Dussault, Ici on lit : Les incontournables Radio-Canada
« Ce livre m’a bouleversée comme mère et comme journaliste. » Alexandra Diaz, La Presse
« Avec un rare talent d’écriture, l’auteur nous donne un récit aussi tonique que poétique qui nous happe dès les premières lignes et ne nous lâche plus, un pur joyau d’émotions. Éblouissant! » Chrystine Brouillet, Salut, Bonjour!
« J’ai beau chercher, ça fait longtemps que je n’ai pas lu quelque chose d’aussi violent. (…) J’ai beau chercher, ça fait longtemps que je n’ai pas lu quelque chose d’aussi joli. » Anne-Marie Dussault, Ici on lit : Les incontournables Radio-Canada
« Ce livre m’a bouleversée comme mère et comme journaliste. » Alexandra Diaz, La Presse
« Avec un rare talent d’écriture, l’auteur nous donne un récit aussi tonique que poétique qui nous happe dès les premières lignes et ne nous lâche plus, un pur joyau d’émotions. Éblouissant! » Chrystine Brouillet, Salut, Bonjour!
FEMME FLEUVE
Un peintre se retrouve sur la grève d’un grand fleuve afin d’en reproduire le bleu quand une femme vient bouleverser sa vie. Comme deux amoureux qui se sont rencontrés trop tard, ils se réfugient l’un dans l’autre. Vœu lumineux d’une beauté sauvage, ce nouveau roman d’Anaïs Barbeau- Lavalette porte sur ses ailes la résilience des huîtres qui fabriquent une perle de leur blessure, la majestuosité du lis géant qui ne fleurit que tous les sept ans et l’audace de toutes les femmes qui ont décidé d’écrire leur désir.
256 pages / Prix: 26.95$ / ISBN 9782925059226
FEMME FLEUVE
Un peintre se retrouve sur la grève d’un grand fleuve afin d’en reproduire le bleu quand une femme vient bouleverser sa vie. Comme deux amoureux qui se sont rencontrés trop tard, ils se réfugient l’un dans l’autre. Vœu lumineux d’une beauté sauvage, ce nouveau roman d’Anaïs Barbeau- Lavalette porte sur ses ailes la résilience des huîtres qui fabriquent une perle de leur blessure, la majestuosité du lis géant qui ne fleurit que tous les sept ans et l’audace de toutes les femmes qui ont décidé d’écrire leur désir.
256 pages / Prix: 26.95$ / ISBN 9782925059226
Autres titres
FEMME FORÊT
Deux familles sont réunies dans une maison centenaire pendant trop longtemps. L’hiver perce les murs, la tapisserie s’épluche et les souris font leur nid dans le piano. Alors on se penche sur l’extérieur, comme pour la première fois. Dehors, une nouvelle langue se déploie. Celle des lucioles, des pins blancs et du mélilot. Dehors, une cueilleuse d’asclépiades sauve la vie de soldats, un superhéros dompte les peurs à bord de son tracteur, un peintre japonais trace ses tableaux avec la sueur des amants. Dehors, tout redevient possible. Femme forêt est un livre indispensable, un appel d’air et d’amour, où l’existence valse avec la mort, où l’on retisse les fils de la mémoire, où l’on se souvient de ce que signifie « être vivant ». Les mots d’Anaïs Barbeau-Lavalette ont ici l’effet d’attrape-cœurs qui résonnent en vous longtemps après la lecture.
304 pages / Prix: 26.95$ / ISBN 9782925059158
Autres titres
FEMME FORÊT
Deux familles sont réunies dans une maison centenaire pendant trop longtemps. L’hiver perce les murs, la tapisserie s’épluche et les souris font leur nid dans le piano. Alors on se penche sur l’extérieur, comme pour la première fois. Dehors, une nouvelle langue se déploie. Celle des lucioles, des pins blancs et du mélilot. Dehors, une cueilleuse d’asclépiades sauve la vie de soldats, un superhéros dompte les peurs à bord de son tracteur, un peintre japonais trace ses tableaux avec la sueur des amants. Dehors, tout redevient possible. Femme forêt est un livre indispensable, un appel d’air et d’amour, où l’existence valse avec la mort, où l’on retisse les fils de la mémoire, où l’on se souvient de ce que signifie « être vivant ». Les mots d’Anaïs Barbeau-Lavalette ont ici l’effet d’attrape-cœurs qui résonnent en vous longtemps après la lecture.
304 pages / Prix: 26.95$ / ISBN 9782925059158
EMBRASSER YASSER ARAFAT
Lorsqu’Anaïs apprend le décès de Yasser Arafat, quelques mois après l’avoir rencontré dans son palais en ruines de Ramallah, elle a un doute, un petit frisson. Sa mort est mystérieuse, certains racontent qu’il a succombé à un « empoisonnement par le baiser ». Anaïs se souvient que le vieux révolutionnaire l’avait accueillie chez lui, qu’il lui avait tendu une assiette de biscuits au chocolat et qu’il l’avait embrassée sur la bouche. Yasser Arafat embrassait tout le monde, mais il aimait particulièrement les femmes. Anaïs Barbeau-Lavalette est allée plusieurs fois en Palestine pour étudier, pour y filmer aussi. Elle a entre autres suivi le réalisateur Denis Villeneuve et son équipe afin de tirer un making of du film Incendies et d’en documenter la production. Mais de ce pays Anaïs Barbeau-Lavalette a aussi rapporté ses souvenirs et ses propres représentations. Et elle est devenue, petit à petit, le personnage principal d’une épopée au pays des figues et de la pomme grenade. En arabe, Ramallah signifie « désert de Dieu » et pourtant, le récit qu’elle nous en rapporte est densément peuplé. Embrasser Yasser Arafat est un recueil de chroniques qui rassemble des personnages colorés qui font bouillir des têtes de moutons pour les grandes occasions, qui préparent du thé à la sauge, qui se déguisent en superhéros pour tromper l’ennui et qui vont chercher, en cachette, du vin chez les Samaritains. Et même lorsqu’ils évoquent leurs enfants disparus, même quand ils se font refouler après des heures d’attente dans un checkpoint et malgré la tension qui règne dans les rues de la ville, il y a dans le récit qu’en fait Anaïs Barbeau-Lavalette une beauté et une quiétude étonnantes. Sa voix, résolue mais délicate, se déploie en toute sobriété dans le vacarme parfois assourdissant de la capitale palestinienne. Car la résistance et le respect de soi-même ne sont pas toujours affaire de bruit. Elles s’inscrivent aussi dans l’oeil de ceux qui les appellent de leurs voeux.
82 pages / Prix: 14.95$ / ISBN 9782922944754
EMBRASSER YASSER ARAFAT
Lorsqu’Anaïs apprend le décès de Yasser Arafat, quelques mois après l’avoir rencontré dans son palais en ruines de Ramallah, elle a un doute, un petit frisson. Sa mort est mystérieuse, certains racontent qu’il a succombé à un « empoisonnement par le baiser ». Anaïs se souvient que le vieux révolutionnaire l’avait accueillie chez lui, qu’il lui avait tendu une assiette de biscuits au chocolat et qu’il l’avait embrassée sur la bouche. Yasser Arafat embrassait tout le monde, mais il aimait particulièrement les femmes. Anaïs Barbeau-Lavalette est allée plusieurs fois en Palestine pour étudier, pour y filmer aussi. Elle a entre autres suivi le réalisateur Denis Villeneuve et son équipe afin de tirer un making of du film Incendies et d’en documenter la production. Mais de ce pays Anaïs Barbeau-Lavalette a aussi rapporté ses souvenirs et ses propres représentations. Et elle est devenue, petit à petit, le personnage principal d’une épopée au pays des figues et de la pomme grenade. En arabe, Ramallah signifie « désert de Dieu » et pourtant, le récit qu’elle nous en rapporte est densément peuplé. Embrasser Yasser Arafat est un recueil de chroniques qui rassemble des personnages colorés qui font bouillir des têtes de moutons pour les grandes occasions, qui préparent du thé à la sauge, qui se déguisent en superhéros pour tromper l’ennui et qui vont chercher, en cachette, du vin chez les Samaritains. Et même lorsqu’ils évoquent leurs enfants disparus, même quand ils se font refouler après des heures d’attente dans un checkpoint et malgré la tension qui règne dans les rues de la ville, il y a dans le récit qu’en fait Anaïs Barbeau-Lavalette une beauté et une quiétude étonnantes. Sa voix, résolue mais délicate, se déploie en toute sobriété dans le vacarme parfois assourdissant de la capitale palestinienne. Car la résistance et le respect de soi-même ne sont pas toujours affaire de bruit. Elles s’inscrivent aussi dans l’oeil de ceux qui les appellent de leurs voeux.
82 pages / Prix: 14.95$ / ISBN 9782922944754
LA FEMME QUI FUIT
Anaïs Barbeau-Lavalette n'a pas connu la mère de sa mère. De sa vie, elle ne savait que très peu de choses. Cette femme s'appelait Suzanne. En 1948, elle est aux côtés de Borduas, Gauvreau et Riopelle quand ils signent Refus Global. Avec Barbeau, elle fonde une famille. Mais très tôt, elle abandonne ses deux enfants. Pour toujours.
Afin de remonter le cours de la vie de cette femme à la fois révoltée et révoltante, l'auteure a engagé une détective privée. Les petites et grandes découvertes n'allaient pas tarder.
Enfance les pieds dans la boue, bataille contre les petits Anglais, éprise d'un directeur de conscience, fugue vers Montréal, frénésie artistique des Automatistes, romances folles en Europe, combats aux sein des mouvements noirs de l'Amérique en colère; elle fut arracheuse de pissenlits en Ontario, postière en Gaspésie, peintre, poète, amoureuse, amante, dévorante… et fantôme.
La femme qui fuit est l'aventure d'une femme explosive, une femme volcan, une femme funambule, restée en marge de l'histoire, qui traversa librement le siècle et ses tempêtes.
Pour l'auteure, c'est aussi une adresse, directe et sans fard, à celle qui blessa sa mère à jamais.
Finaliste prix du Gouverneur Général
Prix des libraires du Québec
Prix France-Québec
Grand prix de la ville de Montréal
Prix des bibliothèques de Montréal
Finaliste Canada Reads
464 pages / Prix: 24.95$ / ISBN 9782923896502
LA FEMME QUI FUIT
Anaïs Barbeau-Lavalette n'a pas connu la mère de sa mère. De sa vie, elle ne savait que très peu de choses. Cette femme s'appelait Suzanne. En 1948, elle est aux côtés de Borduas, Gauvreau et Riopelle quand ils signent Refus Global. Avec Barbeau, elle fonde une famille. Mais très tôt, elle abandonne ses deux enfants. Pour toujours.
Afin de remonter le cours de la vie de cette femme à la fois révoltée et révoltante, l'auteure a engagé une détective privée. Les petites et grandes découvertes n'allaient pas tarder.
Enfance les pieds dans la boue, bataille contre les petits Anglais, éprise d'un directeur de conscience, fugue vers Montréal, frénésie artistique des Automatistes, romances folles en Europe, combats aux sein des mouvements noirs de l'Amérique en colère; elle fut arracheuse de pissenlits en Ontario, postière en Gaspésie, peintre, poète, amoureuse, amante, dévorante… et fantôme.
La femme qui fuit est l'aventure d'une femme explosive, une femme volcan, une femme funambule, restée en marge de l'histoire, qui traversa librement le siècle et ses tempêtes.
Pour l'auteure, c'est aussi une adresse, directe et sans fard, à celle qui blessa sa mère à jamais.
Finaliste prix du Gouverneur Général
Prix des libraires du Québec
Prix France-Québec
Grand prix de la ville de Montréal
Prix des bibliothèques de Montréal
Finaliste Canada Reads
464 pages / Prix: 24.95$ / ISBN 9782923896502